Il y a une semaine,
vendredi dernier, j'ai assisté à Strip, Strip, Hourra ! Dita von Teese nouvelle
revue burlesque. Il n'est pas exagéré de dire que j'ai voulu voir Dita exécuter
vivre pendant des années, et j'avais été impatient de voir ce spectacle depuis
des mois. En fait, j'ai acheté mes billets du infimes ( littéralement ) leur
mise en vente. Swarovskis ... Louboutins ... M. Corsets perle ... et la lingerie
sexy, ce qui n'est pas d'aimer ?
Pourtant, je suis partie
pour Strip, Strip, Hourra ! ... Sentiment conflictuel. Et dans les jours qui
j'ai passé des jours après le tri dans mes impressions du spectacle, mon sens
de conflits transformé en un sentiment général de déception qui m'a laissé avec
la réalisation surprenant que, malgré mon excitation plus tôt, je ne suis pas
vraiment intéressé à voir Dita effectuer revivre.
Mais tout d'abord, nous
allons commencer par le bien. Le spectacle avait un casting incroyablement
diversifiée dans tous les sens du mot - type de corps, l'origine ethnique et le
sexe. La tenue sexy
est parfaite ! Il y avait des artistes minces ( Lada ), les interprètes
épais ( Dirty Martini ), des artistes de couleur ( Perle Noire ), les
interprètes masculins ( M. Romeo ), âgés interprètes ( Catherine D'Lish ), et
un interprète avec ce que je pense nanisme était ( Selene Luna ). C'était
vraiment excitant pour moi de voir tant de différentes sortes de burlesque
représentés, et notre maître de cérémonie Murray Hill était super divertissant,
en gardant la haute énergie et la forte rit toute la nuit.
Mon acte personnel
préféré était un hommage électrique Perle Noire à Joséphine Baker ( avec la
jupe banane ! ) Si Catherine D'Lish's acte toile d'araignée sinueuse et
séduisante est une seconde près. La valeur de la production est élevée, et les
artistes étaient bien évidemment au sommet de leur art.
Mais que de Dita, la tête
d'affiche, nous étions tous là pour voir ? Si je peux oser le dire, je me
sentais déçue ... comme si elle était la plus faible interprète de tous.
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